Processus d’évolution

J’ai choisit, en tant qu’être spirituel, l’autisme comme zone d’inconfort et une famille présente comme zone de confort.
C’est la zone d’équilibre entre les deux qui permet mon évolution.

L’évolution est une danse constante entre chaos et ordre, inconfort motivant et confort réconfortant.

Quand le confort devient trop grand, la vie – l’univers n’hésite pas à augmenter l’inconfort, parfois d’une manière vécue comme violente, pour nous rappeler que nous sommes ici pour évoluer, à notre rythme certes, mais pas stagner.

Certaines situations peuvent être vécues comme motivantes pour certains et trop violentes – amenant un « abandon » – pour d’autres.
Là encore, rien ne sert de se comparer aux autres.

4 réflexions au sujet de « Processus d’évolution »

  1. Quelle belle compréhension ! encore MERCI Marie pour ce que tu nous montres…
    Je vais essayer de retenir « l’inconfort motivant et le confort réconfortant » et être encore plus consciente d’équilibrer les deux pour que la « danse » soit harmonieuse et aisée.
    J’aime beaucoup cette façon de regarder la Vie.
    M.

  2. Je suis ravie de lire cette vision de « choix d’âme et de vie », je suis entièrement d’accord avec toi. Depuis que je l’ai découvert, je suis en paix avec tout un tas de choses, y compris le passé et la culpabilité qui pourrait aller avec. Tout est bien comme il est finalement.
    Au sujet de l’univers qui augmente systématiquement l’inconfort, je suis un peu nuancée je t’avoue. Là encore, je pense que la décision d’âme que tu as prise prime sur un quelconque automatisme de l’univers. Il te bouscule seulement si c’est ce que tu as décidé pour évoluer. On peut aussi décider d’être un peu moins bousculé, d’évoluer non pas par grosses vagues mais tout doucement.
    Bref, notre choix est toujours respecté en tout cas, l’univers ne nous impose rien, il suit ce choix 🙂 .

    • Je suis bien sur d’accord, l’univers respecte notre choix.
      Mais comment savoir si notre âme a opté pour « évolution à tout prix » ou « évolution en douceur sinon rien » ? 😉
      Nous avons le choix en tant qu’humain de refuser de regarder – et ne pas choisir est aussi un choix.
      En réalité, nous nous créons aussi ce qui nous bouscule, c’est souvent soit par demande de l’âme – et qui se passe à « l’extérieur » – soit c’est le corps qui exprime pour l’âme.
      C’est un sujet sensible car beaucoup perçoivent cela comme « tu dis que c’est de ma faute si …  » or il ne s’agit pas de « faute » mais de « responsabilité », ce qui n’est pas pareil. Je suis pleinement consciente, par exemple, que j’ai créé les situations dans lesquelles j’ai souffert. Je les ai créé pour évoluer et grandir.

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