Hygge et zone de confort intentionnelle

Hygge, mot danois, définition sur Wikipedia :

« Le hygge est un état d’esprit positif procuré par un moment jugé réconfortant, agréable et convivial. […]
Le hygge, c’est « le sentiment qu’on est en sécurité, à l’abri du monde, et qu’on peut baisser la garde », écrit Meik Wiking, directeur de l’Institut de recherche sur le bonheur à Copenhague. Il s’agit d’« une stratégie de survie ». »

Cela me fait penser à une zone de confort intentionnelle, ce qui m’a amené à me poser une (plusieurs) question(s) : et si le problème de la zone de confort était le fait que nous n’en sommes pas conscient ?
Est-ce qu’en devenir conscient.e et apprendre à la connaître peut nous permettre de l’utiliser pour avancer dans notre vie ?

Est-ce que la zone de confort peut devenir cette zone dans laquelle se ressourcer et prendre des forces pour être bien dans le monde ?
Ce qui peut être difficile pour certaines personnes dont cette zone est poreuse, fragile, peu existante etc. et donc n’est pas suffisamment ressourçante. De plus, les personnes ayant certaines sensibilités et difficultés vont avoir besoin de se replier dans cette zone plus fréquemment que d’autres, ou de la « prendre avec elles ».

Est-ce que le hygge peut être « on the go » (« à emporter ») ?

2 réflexions au sujet de « Hygge et zone de confort intentionnelle »

  1. Oui je suis tout à fait d’accord sur le fait de retourner dans sa zone de confort .
    Je pense que pour en avoir une à emporter il y a plusieurs moyens comme par exemple en sophrologie où on apprend à visualiser un endroit agréable (je n’ai pas encore fait cette séance mais ça viendra), et aussi je pense quand on se reconnecte à la nature/au moment présent, bon quand on est en pleine ville, au travail etc c’est moins évident c’est sûr, mais on peut faire une pause, s’isoler, mettre un fond sonore de bruits de la nature et rester dans le moment présent/méditer par exemple

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