Activisme menstruel et identité(s) de genre

Peut-on être activiste spirituel.le et faire évoluer la vision du féminin dans le milieu du féminin sacré et du « period activism » (activisme des règles)?
Toutes les personnes ayant leurs règles ne sont pas des femmes, en tant qu’identité de genre, et toutes les femmes n’ont pas leurs règles.

Je suis de genre fluide, j’ai mes règles, je suis très spirituel.le et en contact avec mon féminin et mon masculin.
Quand vous parlez de « femme », vous ne parlez pas de moi.

Est-ce que cette réflexion et cette inclusion sont possible dans ce mouvement?
Peut-on associer la réflexion sur le genre (très/trop souvent binaire) à ce mouvement spirituel?
Tous les êtres ont du féminin et du masculin, sommes-nous obligé.e.s de continuer à diviser?

Je me questionne. J’ai envie de rendre ce mouvement inclusif mais je ne sais comment faire.
Cela passe, il me semble, par le langage.
Associer systématiquement « règles » et « femmes » est limitateur et rejetant d’une partie des personnes menstruant mais ne s’identifiant pas à « femme ».
Peut-être nous pourrions dire « les personnes menstruant »? Oui, c’est plus lourd que « les femmes » mais c’est inclusif.

Et vous, vous en pensez quoi?


Le pardon est bon pour la santé

Le quatrième article de cette série aborde un thème parfois sensible…

Cette semaine-là, le thème de la coopération était aussi abordé.
Les études chez les primates ainsi que chez les humains montrent que nous sommes physiologiquement et psychologiquement conçus pour coopérer – plutôt que d’être en compétition.
Les excuses et le pardon sont importants si nous souhaitons développer la coopération.

Je ne parle pas de situations traumatisantes, bien que le pardon fasse partie du processus pour s’en remettre d’après ce que j’ai lu sur le sujet.
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Gentillesse et compassion pour créer du bonheur

Voici le troisième article de la série « Les sciences du bonheur ».

Qu’est ce que la compassion ?
« Le ressenti qui apparaît quand on est témoin de la souffrance d’autrui et qu’on veut aider à atténuer cette souffrance ».
C’est un peu l’étape au-dessus de l’empathie : non seulement je vois, comprends et peut-être même ressens les émotions de l’autre, mais en plus je veux l’aider.
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La balade

Quand je pars marcher, je n’ai pas de chemin précis.
Je suis mon intuition.
Parfois, je suis un chemin jusqu’au bout, je me retrouve coincé.e et me voilà à traverser la garrigue pour rentrer.
Je fais mon propre chemin, comme dans la vie, après avoir suivi un chemin plus emprunté qui ne me convient pas.
C’est un moment que j’adore : regarder par où passer, découvrir des coins cachés…
Je me sens vivant.e.


Guerrier de lumière

La lumière est une arme quand elle se dresse contre l’ombre.

L’amour et la compassion sont des flèches qui transpercent les armures jusqu’au cœur.

Parfois il faut détruire avant de reconstruire.
Kali est un agent du divin.

Les Druides savaient protéger par la magie et par l’épée.

La paix ne peut exister sans son contraire.
Nous vivons dans un monde de dualité.

Mon amour est une arme plus forte que l’épée.


Les relations humaines et le bonheur

Voici le 2eme article de la série sur « les sciences du bonheur », si vous avez raté le 1er: « Les sciences du bonheur ».

Des études montrent que plus les gens sont seuls, moins ils vont bien – et que la souffrance « sociale » active la même zone du cerveau que la souffrance physique.
Cependant, avoir des relations peut aussi être stressant que ce soit une relation amoureuse, être parent, ou une amitié.

Nous avons besoin de relations mais ce n’est pas toujours inné. Nous pouvons travailler sur notre communication verbale par exemple, notre capacité à écouter, notre façon de montrer à l’autre qu’il compte – une main posée sur l’épaule de l’autre peut suffire.

Notre type d’attachement influe aussi, mais nous pouvons le modifier – il existe des thérapies spécialisées dans ce domaine.
Regardons de plus près comment nous fonctionnons…
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Nous sommes tou.te.s humain.e.s

L’humain cherche un point commun avec les autres pour se sentir proche d’eux mais, trop souvent il me semble, nous oublions le dénominateur commun universel: nous sommes tous humains.
Je ne parle pas de la qualité que nous appelons « humanité » mais du fait basique.

Après, certains oublient clairement qu’ils sont humains, comme les « autres » autour d’eux.
Mais ils restent humains même s’ils ont oublié leur humanité.

Nous sommes tou.te.s humain.e.s.
Je ressens de l’amour et de la compassion pour vous tou.te.s.

Comme le rappelait une amie sur facebook, nous pouvons comprendre sans être d’accord.
Je peux voir l’état d’être humain et avoir de la compassion sans être d’accord.
J’ai de la compassion pour vous tou.te.s, même si vous-même n’en avez pas pour vous-même et les autres.

Nous sommes tou.te.s humain.e.s.


Méditation synchronisée spontanée

A 21h ce soir, je vous propose une méditation synchronisée – c’est à dire tous en même temps – pour entourer ce monde d’amour.
Pour les victimes de l’attentat de Paris et toutes les autres, partout dans le monde. Cet attentat nous touche car proche, mais il y en a tous les jours, partout.
Au lieu de nourrir la peur et la haine,

je vous propose de nourrir l’amour, la compassion, la coopération.

Les sciences du bonheur

Voici, comme annoncée, ma série pour partager avec vous un apperçu du cours que j’ai suivi pendant l’automne.

J’ai suivi un cours en ligne, pendant 10 semaines, sur les sciences du bonheur.
Ce cours, proposé par le Greater Good Science Center de l’université de Californie (Berkeley), avait pour buts, entre autre :
– de présenter les avancées scientifiques dans le domaine du bonheur et des émotions positives
– de faire essayer aux étudiant.e.s des pratiques qui permettent de cultiver le bonheur
– d’amener les étudiant.e.s à réfléchir sur leur propre bonheur et sur la manière de le cultiver,
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