Le Parasolverse est le nom donné à des séries et des livres indépendants écrits par Gail Carriger se passant tous dans le même univers.
Le nom vient de « parasol », qui veut dire « ombrelle » en anglais, qui est associé à « universe », « univers » en anglais. « Parasol » se trouve dans le titre de sa première série : « the Parasol Protectorate », « le Protectorat de l’Ombrelle ».
Cet univers, très bien construit, est un univers steampunk dans lequel se trouvent des éléments fantastiques importants, le faisant donc potentiellement rentrer dans la définition de la gaslamp fantasy (fantaisie de lampe à gaz).
Il se situe pendant la période victorienne mais avec une technologie plus développée et dans une version de la réalité où l’éther existe.
Les grecs dans l’antiquité sont les premiers à supposer l’existence de cet élément et le situent dans les parties supérieures du ciel. Il est ensuite retrouvé dans beaucoup de théories physiques jusqu’à ce qu’au début du XXe siècle. Son existence n’étant pas prouvée, il est donc admit qu’il n’existe pas. (Si j’ai bien compris ce que j’ai lu.)
Dans le Parasolverse il est associé à l’âme – en avoir trop permet de devenir un vampire, loup-garou ou un fantôme ; son absence, rare, permet d’annuler les effets liés à en avoir trop. Il a aussi des utilisations pratiques, comme pour la communication à grande distance et les voyages en dirigeable plus rapides.
Je tiens à signaler qu’il y a des personnages LGBTQ+ dans chaque série. Si vous avez un problème avec ça, passez votre chemin.
Je vous présente les trois séries traduites en français dans l’ordre de publication du premier tome.
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