J’ai l’intention de reprendre le blog un peu plus sérieusement et plus régulièrement (sans rien promettre), et j’ai un petit projet créatif récurrent à base de photos à partager.
J’ai aussi changé la devise du site pour qu’il me corresponde plus: Fantastique & Différences.
En mai j’ai publié « l’été de l’espoir » qui parlait de mon espoir d’arriver à garder un accès à ma bulle de calme cet été malgré les évènements sociaux.
Je suis très contente de pouvoir dire que ça a été le cas.
Je pense que la pause de l’an dernier m’a fait beaucoup de bien : cette année j’ai réussi à être sociable sans la boule de stress au ventre pendant les vacances dans la famille de mon compagnon, et j’ai même fini par parler à certains membres de sa famille du fait que je suis autiste.
Je ne sais pas à quel point j’ai bien expliqué, et comment ça a été compris, mais c’est dit et c’était important que je le fasse.
Cet été j’ai redécouvert le plaisir de marcher (accompagnée), j’ai savouré la vue du vert des arbres et de l’herbe, j’ai un peu profité de la mer, j’ai appris à mélanger les cartes (pour des parties de poker), j’ai lu, j’ai échangé avec des personnes que j’aime beaucoup, je suis allée au cinéma (on a vu Kaamelott v.1 !), j’ai marché de nuit sous un orage avec pour seul éclairage nos lampes (on a bien ri) …
J’ai eu des moments de stress, d’anxiété, d’incompréhension, d’appréhension, de compréhension, de joie, de connexion …
J’ai fait 3 tests et reçu deux injections, j’ai porté un masque pendant des heures dans le train …
Et je me suis enfin offert des Sylvanian Families, à 37 ans.
C’était vraiment un très chouette été.
L’automne s’annonce mitigée, avec le déménagement de personnes que j’aime beaucoup, mais ça va avec le temps habituel, non ?
Les derniers films vus :
Juillet : Black Widow : je suis triste de lui dire au revoir mais contente qu’elle ait enfin eu son film solo. J’ai beaucoup aimé.
Août : Kaamelott volume1 : on sort avec plus de questions que quand on est entrés ; c’est super de les retrouver – même si certains manquent à l’appel ; certains personnages ne sont pas assez développé à mon goût – mais comme ils sont là en relation avec Arthur, c’est un peu logique aussi.
Septembre : Free Guy : Ryan Reynolds dans une comédie sur les jeux vidéos qui aborde les clichés dans les jeux – en en retournant quelques-uns – avec un petit côté philosophique (prendre sa vie en main) et de la romance. J’ai beaucoup aimé, et sûrement raté plein de références.