Une amie m’avait suggérée de lire l’histoire de cette basilique quand j’ai dit que j’avais eu le coup de foudre.
C’est vrai que l’histoire de sa construction est particulière : construite après la révolution, elle a été déclarée d’utilité publique pour que l’Église puisse acquérir les terrains. Elle est construite, semble-t’il, « pour expier les crimes des communards ». Pas très laïc tout ça.
Ça fait trois fois que je viens à Paris depuis juillet, et trois fois que j’y vais.
La première fois, les sœurs chantaient et ça m’a bouleversée.
La seconde fois, j’ai pris le temps de m’y asseoir et j’ai senti mon cœur s’ouvrir.
La troisième fois, j’avais prit mon carnet et j’ai reçu un beau cadeau.
Cet endroit, pour moi, est bien plus fort que Notre-Dame, où je n’ai rien ressenti.
Au Sacré Cœur, mon Cœur Sacré s’ouvre.
Je ressens de la joie, la joie profonde et irraisonnée. Celle qui existe malgré tout, au delà de tout.
Je ne sais pas l’expliquer. Peut-être que c’est lié aux prières en continu nuit et jour depuis le 1er août 1885. Peut-être que c’est lié au « vœu national » fait pour sa construction. Peut-être que c’est lié aux siècles de prières chrétiennes et païennes sur ce lieu. Peut-être que c’est lié à la colline elle-même.
Tout ce que je sais, c’est que c’est fort, très fort, pour moi. Et que je reviendrais là-bas chaque fois que je serais à Paris.
Et si tu es dans le coin et que tu as envie d’aller y méditer avec moi, tu es lea bienvenu-e.
Message reçu le 11 septembre 2015 au Sacré Cœur
« La joie de l’âme est immortelle et irraisonnée. Elle est, tout simplement. Elle ne dépend ni des autres ni des circonstances, elle née du simple fait d’être en vie, d’être un être immortel, divin, d’Amour infini.
Elle se trouve tout au fond du silence de vos cœurs.
Aimez sans répit et sans relâche, la vie vous le rendra au centuple.
Namaste. »
Le site officiel de la basilique du Sacré Cœur
La page wikipédia sur la Basilique du Sacré Cœur