J’ai encore oublié d’en parler suffisamment tôt.
Lundi 21 septembre sera la journée internationale de la paix, crée en 2001 par l’ONU, suite au travail de l’organisation Peace One Day.
Je vous en avais déjà parlé l’an dernier, le thème de Peace One Day étant « Avec qui allez-vous faire la paix?« .
Le thème de l’ONU cette année est « Partenariats pour la paix – Dignité pour tous » qui touche particulièrement actuellement.
« Le thème de cette année, « Partenariats pour la paix – Dignité pour tous », vise à démontrer qu’il est primordial que toutes les sphères de la société travaillent ensemble pour la paix. »
Cette citation tirée du site de l’ONU me parait tellement évidente.
Et nous pouvons aller plus loin encore…
Un autre mouvement propose un évènement autour de la paix, il s’agit d’Unify.
Je ne sais pas qui est derrière ce mouvement, mais il propose des méditations globales synchronisées et invite à organiser nos propres évènements sur plusieurs thèmes dans l’année.
Le thème du weekend est « De la paix intérieure à la paix dans le monde« , avec la projection d’un film du même nom et une méditation guidée – en anglais – samedi*.
Pouvons-nous être en paix avec les autres si nous ne sommes pas en paix avec nous-mêmes?
Pouvons-nous attendre que « les autres » cessent de se faire la guerre quand nous nous la faisons aussi à l’intérieur de nous?
Je ne fais que poser ces questions, je ne suis pas une sainte, je m’attaque moi-même régulièrement, je ne suis pas en paix avec moi-même, pas toujours.
Mais comment attendre « des autres » qu’ils réussissent ce que nous n’arrivons pas à faire envers nous-même?
Est-ce plus facile de le réussir envers les autres? Ou est-ce au contraire voué à l’échec tant que nous ne réussirons pas à être en paix avec nous-mêmes?
Je trouve plus facile de voir ces attaques quand elles sont « à l’extérieur », envers l’autre, qu’envers moi-même. C’est vrai. Et s’il est plus facile d’en prendre conscience, il est plus facile d’y faire attention et de modifier ce fonctionnement.
Mais je ne pense pas que ce soit suffisant pour réellement résoudre le problème.
Du coup, je m’interroge: dois-je me voir comme « l’autre » pour modifier ma façon de me traiter?
Peut-être que si je ne me prends plus comme argent comptant, que je prends de la distance avec moi-même, je ferais plus attention, j’oserais moins, je reformulerais mes paroles et mes pensées… en clair, je deviendrais plus facilement bienveillante envers moi-même.
Et vous, qu’en pensez vous?
Que faites-vous pour construire un monde de paix à votre échelle?
* Toutes les infos et l’inscription se font sur le site d’Unify