Le stress de la rentré…

N’est pas une fatalité!

Bien souvent, il s’agit d’un manque de confiance: en soi, en son enfant, en l’instituteur/institutrice…
Votre mantra pour les prochains jours:

«Je fais confiance à l’Univers».

Et, surtout, pensez à respirer!

Voici des conseils donnés par une maman et institutrice de maternelle:

«D’abord faire confiance à l’enseignant-e, c’est son boulot (bien sûr, comme partout, il y a des cas …) et à son enfant (il se débrouillera très bien si son parent est persuadé qu’il est capable de le faire).
Ne pas partir sans dire au revoir.
C’est dur quand l’enfant pleure, mais il faut partir quand même le moment venu, en ayant rassuré et donné l’horaire où il sera cherché (même à un tout petit) et être à l’heure.
Perso, je ne prends pas l’enfant dans mes bras. Je préfère que le parent le pose par terre, les pieds au sol … moi je me mets à sa hauteur et je console, prend par l’épaule, contre moi … ancré au sol, tous les deux.
Parfois l’enfant hurle, se débat, il faut un peu le “contenir” pour qu’il reste dans la classe. C’est très dur pour les parents, mais ça ne dure jamais longtemps. Dans ces cas là, je propose aux parents d’appeler 1/2h plus tard, pour prendre des nouvelles (toute petite école, c’est moi qui décroche le tel – pas faisable partout).

L’école, c’est une mini communauté, avec des règles de vie. Pour certains enfants, c’est un changement énorme … On ne peut pas faire ce qu’on veut quand on veut, ni aller où on veut ; il faut partager, les jouets, la maitresse, l’atsem (l’aide) ; il faut attendre son tour … Pas facile, mais nécessaire. Des fois, les parents aussi ont du mal avec ça.

L’école c’est bruyant, oui, fatiguant, pour tout le monde. Parfois l’adulte doit hausser le ton pour se faire entendre … Perso, quand il y a trop de bruit je crie “stop” et tout le monde doit se figer en silence … quelques secondes de “statue”, et je propose de reprendre les activités  en faisant moins de bruit. Quand on lit une histoire, quand il y a trop de bavardages, je ferme le livre et j’attends que ça s’arrête. Pour certains enfants habitués au calme de la maison, ça peut faire peur, paniquer, tout ce bruit … C’est très compliqué à gérer.

Souvent un enfant ne racontera rien de sa journée, c’est normal. Il s’écroulera de fatigue sans manger, c’est normal. Il “piquera une crise” pour une broutille au retour de l’école, ce n’est pas un caprice (sur les caprices, très bon article là,  le paragraphe “une maman témoigne”, ça marche aussi pour l’école) et c’est normal.

En cas de soucis, aller en parler avec l’enseignant-e.
Il n’y a pas de questions idiotes, donc on les pose toutes.
Par contre, l’enseignant-e est un être humain avec une vie à l’extérieur … qui est aussi fatigué après une journée de classe, qui doit peut être vite rentrer à midi car tout le monde mange à la maison ou le soir à cause d’un rendez-vous, d’une réunion  …
Ne pas lui tomber dessus en début de matinée ou d’après midi (moment d’accueil des enfants) ; prendre 5 minutes au moment de la sortie ( ou le faire par téléphone en évitant au maximum d’appeler pendant la classe ) pour demander un rendez-vous en exposant rapidement le pourquoi (ça permettra à l’enseignant-e de préparer l’entretien) mais sans trop développer.

Ne pas projeter sur l’école de son enfant ses propres peurs, doutes, mauvaises expériences (c’est dur).
Oser entrer dans l’école (bon, dans certaines écoles on ne peut pas aller dans les classes, je trouve ça nul …)»

Et vous, comment gérez-vous la rentrée?
Quels sont vos astuces pour les parents inquiets?


Appréciation et transformation

Quand je grandis en Conscience, Confiance, Amour, Bonheur, Paix … j’apporte aussi ces vibrations aux êtres autour de moi, à l’humanité toute entière et à l’Univers.
C’est pourquoi j’exprime toujours ma gratitude envers ceux qui partagent leurs (histoires de leurs) transformations avec moi.

C’est aussi pourquoi j’ai une gratitude infinie envers tous les êtres expérimentant sur cette Terre: nous grandissons tous à notre rythme personnel, mais nous sommes tous en transformation perpétuelle – cela prend simplement plus de temps à se manifester dans le monde physique pour certains que pour d’autres.

Mon mantra du jour:

Infinie Gratitude

Namaste*

* »Le Divin en moi reconnait et salue le Divin en toi »


Nomadisme

Il y a quelques mois, je n’arrivais pas à sortir seule de chez moi pour aller faire les courses à l’épicerie à côté sans me programmer trois jours à l’avance.
Aujourd’hui, je n’ai plus de boule au ventre quand j’y vais.

[Pour ce qui est de la conduite, c’est autre chose : mon cerveau n’est apparemment pas (encore) configuré pour gérer tous les stimuli nécessaires… (Gratitude infinie pour mes proches compréhensifs qui m’aident et m’accompagnent avec Amour)]

Pourtant, depuis l’enfance, j’ai toujours rêvé d’être nomade.
Déjà, parce que quand on transporte sa maison avec soi – une roulotte par exemple – on peut se reposer/dormir quand on en a besoin. En plus, on a ses affaires avec soi, donc tout ce dont on peut avoir besoin. Tout cela avait un côté rassurant – imaginé seulement, peut être.

Mais aussi, on découvre le monde. Et j’aimerais aller à la rencontre des êtres qui peuplent cette terre, découvrir des espaces naturels magnifiques, communier avec les esprits de la nature, apprendre d’autres cultures…

J’ai vécu 4 ans et demi en Grande-Bretagne (sans mes parents), j’ai visité l’ashram d’Osho à Poona avec mes parents, je suis allée deux fois voir Joao de Deus au Brézil (dont une fois sans mes parents avec un groupe), j’ai vu la Crète, la Corse et l’Espagne… mais j’ai envie de plus, d’autre chose.

D’un van équipé d’un matelas pour partir et dormir à l’improviste, d’un sac-à-dos et d’un billet de train pour aller en Bretagne (pour aller voir si les fées y vivent toujours), d’aller camper avec des ami.e.s (où vous voulez, faites-moi rêver!), d’aller prier dans des temples shinto au Japon – et de découvrir des onsen, de retourner en Inde et d’aller voir les tigres apprivoisés par des moines en Thaïlande…

L’Univers, si tu lis ça – je sais que oui – sache que je suis prête à accepter la non-sécurité du voyage – et que j’accepte que je ne peux pas tout prévoir dans mes affaires ou en dehors !
Tout ce que je demande, c’est d’être protégée physiquement et de découvrir la Vie.

Alors, on part quand ?


Jugements, critiques, comparaisons

« Jugements + critiques + comparaisons = attaques envers et de soi-même »

Tous les jugements et les critiques émis, qu’ils soient envers les autres ou envers moi-même, sont des attaques envers moi-même.

En effet, je suis celle qui ressent et subit physiquement mes émotions.

(Nos pensées vont aussi nourrir le grand « regroupement » (égrégore) de pensées de l’humanité, et pareil pour nos émotions, car nous ne sommes pas séparés. Ceci sera le sujet d’un prochain article!)

Les comparaisons fonctionnent selon deux schémas :
dans le premier, la comparaison amène une critique ou un jugement,
« Il fait différemment, il est nul/je suis nul.le » ;
dans le deuxième, la comparaison amène une prise de conscience et une remise en question,
« Tiens, et si sa technique marchait mieux ? » « Et si ce qu’il dit pouvait m’aider à évoluer ? »
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